mercredi 27 juillet 2016

Portrait de femme : MALALA YOUSAFZAI


Portrait du jour : Malala Yousafzai.

Cette jeune pakistanaise, militante pour l'éducation depuis ses 11 ans, me touche par son courage et son éloquence. Autant d'aplomb, de sagesse et de constance à son âge... En effet Malala à 19 ans aujourd'hui et incarne depuis plusieurs années une figure de paix et de défense des droits des enfants et des femmes à travers le monde.

"Mon père gardait dans sa poche un poème de Martin Niemöller, qui vivait dans l'Allemagne nazie. Il disait: 
"Lorsqu'ils sont venus chercher les communistes, je n'ai rien dit, je n'étais pas communiste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les socialistes, je n'ai rien dit, je n'étais pas socialiste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les syndicalistes, je n'ai rien dit, je n'étais pas syndicaliste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les juifs, je n'ai rien dit parce que je n'étais pas juif.
Lorsqu'ils sont venus chercher les catholiques, je n'ai rien dit, parce que je n'étais pas catholique.
Lorsqu'ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester."
Il avait raison. Si les gens se taisaient, rien ne changerait.

Comme on dit : "Chapeau bas Madame et merci !"
 Pour en savoir un peu plus ICI

Portrait de femme : MALALA YOUSAFZAI


Portrait du jour : Malala Yousafzai.

Cette jeune pakistanaise, militante pour l'éducation depuis ses 11 ans, me touche par son courage et son éloquence. Autant d'aplomb, de sagesse et de constance à son âge... En effet Malala à 19 ans aujourd'hui et incarne depuis plusieurs années une figure de paix et de défense des droits des enfants et des femmes à travers le monde.

"Mon père gardait dans sa poche un poème de Martin Niemöller, qui vivait dans l'Allemagne nazie. Il disait: 
"Lorsqu'ils sont venus chercher les communistes, je n'ai rien dit, je n'étais pas communiste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les socialistes, je n'ai rien dit, je n'étais pas socialiste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les syndicalistes, je n'ai rien dit, je n'étais pas syndicaliste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les juifs, je n'ai rien dit parce que je n'étais pas juif.
Lorsqu'ils sont venus chercher les catholiques, je n'ai rien dit, parce que je n'étais pas catholique.
Lorsqu'ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester."
Il avait raison. Si les gens se taisaient, rien ne changerait.

 Pour en savoir un peu plus sur son livre ou son histoire : ICI

vendredi 15 juillet 2016

Le bocal pour ne pas perdre la boule...


La métaphore du bocal... se rapprocher de l'essentiel et continuer à vivre en ces journées de douleur...

"Il était une fois, un professeur de philosophie qui, devant sa classe, prit un bocal vide et sans dire un mot, commença à le remplir avec des balles de golf. Ensuite, il demanda à ses élèves si le pot était plein. Les étudiants étaient d’accord pour dire que OUI.
Puis le professeur prit un sac plein de billes et le versa dans le  bocal. Les billes comblèrent les espaces vides entre les balles de golf. Le professeur demanda  à nouveau aux étudiants si le pot était plein. Ils dirent à nouveau OUI.
Après, le professeur prit un sachet rempli de sable et le versa dans le bocal. Bien sûr, le sable remplit tous les espaces vides et le prof demanda à nouveau aux étudiants si le pot était plein. Les étudiants répondirent unanimement OUI.
Tout de suite après le professeur ajouta deux tasses de café dans le contenu du bocal et effectivement le café combla les espaces entre les grains de sable. Les étudiants se sont alors mis à rire…
Quand ils eurent fini, le prof dit : « je veux que vous réalisiez que le bocal représente la vie, les balles de golf sont les choses importantes comme la famille, les enfants, la santé, tout ce qui passionne. Nos vies seraient quand même pleines si on perdait tout le reste et qu’il ne restait qu’elles. les billes sont les autres choses qui comptent comme le travail, le materiel, etc… Le sable représente le reste, les petites choses de la vie.
Si on avait versé le sable en premier, il n’y aurait eu de place pour rien d’autre, ni les balles de golf ni les billes. C’est la même chose dans la vie. Si on dépense toute notre énergie et tout notre temps pour les petites choses, nous n’aurons jamais de place pour les choses vraiment importantes. Faites attention aux choses qui sont cruciales pour votre bonheur. Jouer avec ses enfants, prendre le temps d’aller chez le médecin, dîner avec son conjoint, faire du sport ou pratiquer ses loisirs favoris. Il restera toujours du temps pour faire le ménage, réparer le robinet de la cuisine… Occupez-vous des balles de golf en premier, des choses qui importent vraiment. Établissez des priorités, le reste n’est que du sable »
Un des étudiants leva alors la main et demanda ce que représente le café. Le professeur sourit et dit : « c’est bien que tu demandes. C’était juste pour vous démontrer que même si nos vies peuvent paraître bien remplies, il y aura toujours de la place pour une tasse de café avec un ami ».

mercredi 13 juillet 2016

Portrait de femme : YEONMI PARK


Je suis souvent bouleversée par des récits de femmes, d'hommes qui se battent en silence ou non pour la paix et la justice à leur échelle. J'éprouve tout simplement une grande admiration pour leur courage et leur combat pacifiste, souvent le fruit d'un vécu hors norme dans la douleur. Je voulais simplement mettre en avant ces personnes inspirantes dont les parcours sont de vraies leçons de vie, en les portraiturant avec mon humble stylo.

Aujourd'hui Yeonmi Park est une jeune femme de 22 ans, à la détermination inépuisable et aussi éclatante que sa propre "revanche". Désormais active militante pour les droits humains en Corée du Nord, elle à fuit son pays à 13 ans avec sa mère pour la Corée du sud, qu'elles parviendront à rejoindre après plusieurs années d'épreuves inhumaines et un long périple traversant la Chine et la Mongolie. Si vous voulez en savoir un peu plus sur son parcours, voici ICI son Livre témoignage et ICI une de ses interview française sur Europe 1.